vendredi, avril 28, 2006

Skyblogs et légendes urbaines

Chez les skybloggeurs on trouve des textes qui sont maintenant devenus des classiques. Des récits assez macabres, édifiants construits sous la forme de contes ou de faits réels, à la fin souvent tragique. Difficile de savoir la source de ces textes, ce qui est sûr c'est qu'il sont dupliqués sur un grand nombre de blogs, leur présentation pouvant changer au travers de l'image qui l'illustre ou de la décoration du texte (jeu de dégradés de couleurs par exemple). Certains vont même jusqu'à modifier le contenu pour le rendre plus crédible et se l'approprier.
De nouvelles légendes urbaines en somme, qui mèlent conception de l'amour idéalisée, nouveau puritanisme voire éloge du suicide. Un mélange détonnant qui semble plaire aux skybloggeurs, peut-être par leurs propos extrêmes.

Le récit le plus connu :

Un gars et une fille étaient sur une route a 100 a l'heure sur une moto


La Fille :ralenti, j ai peur!
Le Gars :nan arrête c marrant!
La Fille : nan c'est pas marrant, stp j ai trop peur
Le Gars :bah dis moi que tu m aime
La Fille :ok, je t aime, Ralenti!
Le Gars :maintenant donne moi un gros câlin

*La fille lui fait un câlin*

Le Gars :tu peux enlever mon casque et le mettre? Il me gêne


Dans le journal le lendemain, en première page : Accident de moto a cause d'un problème de freins, le conducteur est mort, sa passagère a survécu...


La réalité des choses : A mi chemin sur la route, le gars a réalise que c freins ne marchaient plus, mais il voulait pas le dire a sa copine, A la place de ça il lui a fait dire qu'elle l aimait, et a voulu un câlin pour la dernière fois, ensuite il lui a fait mettre son casque pour qu'elle puisse vivre encore même si cela voulait dire qu'il devait y laisser sa vie pour ça.

Dans le même style (très populaire aussi) :

-->**Cher journal, je suis sur un lit d'hopital, le docteur dit que c'est une opération très difficile et je ne pourrais peut-être pas la faire. Mon copain n'est toujours pas arrivé. **


-->**Cher journal, l'opération est finit, les docteurs disent que tout s'est bien passé mais lui (le copain) n'est toujours pas arrivé.**


-->**Cher journal, une semaine est passée, je vais bien mais mon copain n'est toujours pas venu, à présent je vais aller chez lui, il me préoccupe beaucoup.**


-->**Cher journal, je suis allée chez lui et il n'y avait personne. Je suis entrée. Sur la table il y avait un mot qui disait: "Mon amour, mon coeur ne bat plus en moi mais je suis content de te l'avoir donner à toi... Je t'aime"**

Aucun commentaire: